Appendicite Chronique

Comment soigne-t-on l’Appendicite Chronique ?

L'appendicite chronique est une inflammation de l'appendice, un segment d'intestin d'une dizaine de centimètres situé au niveau de la première partie du gros intestin. L'appendice intervient dans le processus de sécrétion des anticorps dans le cadre du système immunitaire. Contrairement à l'appendicite aigüe, l'appendicite chronique est moins fréquente. Son diagnostic est plus difficile à poser car les signes cliniques sont beaucoup moins visibles et la progression de l'infection plus lente.

Une des causes possibles de l’appendicite est un obstacle à la vidange de l’appendice qui augmente le risque d’infection. Dans certains cas, ce blocage est dû à des corps étrangers comme des noyaux de fruits.

Chez l’enfant, l’appendicite est souvent confondue avec d’autres maladies. En cas de déplacement de l’appendice chez les femmes enceintes, des douleurs peuvent survenir dans la partie droite supérieure ou centrale de l’abdomen. Chez les patients âgés, les symptômes ne sont pas aussi caractéristiques; il est donc plus difficile d’en poser un diagnostic correct.

De manière générale, les symptômes suivants caractérisent souvent l’appendicite chronique :

Des douleurs abdominales ;
Une perte d’appétit ;
Des nausées ;
Des vomissements ;
Des réveils et sueurs nocturnes parfois.

Le nombre de cas d'appendicite est estimé chaque année à environ 8,8 cas par million de personnes. La crise survient le plus souvent entre l’âge de 10 et 30 ans. A Dakar, l’appendicite représente la première urgence chirurgicale.

Pour éviter une appendicite chronique, il faut une alimentation saine et diversifiée. Cela facilitera le transit intestinal.

Ce que dit l’Etiopathie:

La vision unique de l’étiopathe face à la maladie, lui permet d’être des plus efficaces. En effet, son but est d’annuler les récidives et la chronicité de la maladie, en travaillant sur la cause directement (Etio= cause, pathos= maladie).

L’étiopathie libère les spasmes causés par l’appendicite chronique en rétablissant la fonction de l’organe atteint. Il permet aussi d’éviter les cas d’ablations et les récidives. D’excellents résultats sont obtenus dans une moyenne de six interventions.